Avant de supprimer ou modifier les quotas qui limitent l’accès à la profession de médecin, il faudrait établir le nombre de praticiens nécessaire. Celui-ci dépendra bien sûr de plusieurs facteurs, liés aux besoins, d’une part, et à l’offre, d’autre part.
Concernant les besoins, nous savons que ceux-ci vont croître, en raison du vieillissement de la population et des pressions migratoires intenses que nous connaissons aujourd’hui. Les patients plus âgés, plus malades, plus pauvres nécessiteront davantage de soins. Et donc un nombre supérieur de MG.